Osez rêver les organisations et le travail de demain !

Rêver n’est pas fuir la réalité, c’est penser l’avenir.
Le récit demeure un levier puissant pour dépasser les verrous socio-techniques qui bloquent la transition écologique. Et si nous osions inventer une autre histoire de nous-mêmes ?

Nous évoluons dans un monde instable, tissé de crises imbriquées, où suivre des trajectoires déjà tracées n’est plus une option.
Malgré les signaux alarmants des scientifiques et l’accord croissant sur la nécessité d’un changement radical, notre société semble frappée d’inertie. Les initiatives foisonnent, mais la mégamachine — selon le mot de l’historien Lewis Mumford — poursuit sa course. Faut-il attendre que cette mégamachine, ultra-performante mais destructrice, s’écroule d’elle-même ?

Faudra-t-il attendre son effondrement pour voir naître autre chose ?

Pour reprendre la métaphore de Pablo Servigne, devons-nous attendre que le grand arbre (la mégamachine) tombe, pour que les jeunes pousses (les projets porteurs d’espoir) puissent enfin grandir et former la forêt de demain ?
Si la transformation de notre civilisation tarde, c’est que nous sommes entravés par des freins socio-techniques, ces verrous faits de normes, d’habitudes, de techniques et de représentations.
Michel Callon, Bruno Latour ou Frank W. Geels ont montré combien ces blocages empêchent la transformation en profondeur.

Et si nous changions l’histoire que nous nous racontons ?

Pourtant, des leviers existent : les alertes des scientifiques, l’engagement citoyen, la régulation, ou encore la technique lorsqu’elle sert une vision éthique.
Mais un levier, souvent sous-estimé, mérite toute notre attention : le récit. Celui que nous faisons de nous-mêmes, qui rend le changement pensable, donc possible.

  • Et si nous changions de récit ?
  • Et si nous inventions ensemble un futur désirable ?
  • Non pas par naïveté, mais parce que raconter, c’est structurer notre rapport au monde.

L’objectif n’est pas de s’affranchir du réel, qui sera toujours là, implacable, mais de faire sauter les verrous. C’est ce pouvoir du récit collectif que met en lumière La Révolution Bleue de Jean-Pierre Goux : le changement commence dans notre imaginaire, dans notre capacité à nous émerveiller.

L’atelier Work in Resilient World

L’atelier Work in Resilient World s’inscrit dans cette dynamique : un serious game pour rêver les organisations et le travail de demain.
À partir de scénarios de rupture — dérèglement climatique, crise sociale, restauration obligatoire du vivant — les participants imaginent des plans d’adaptation.
Le but n’est pas de modifier quelques variables d’un système existant et d’en constater les effets, mais de faire sauter les verrous !

  • De penser le futur.
  • De faire émerger des solutions grâce à l’intelligence collective.
  • De concevoir l’entreprise demain.

Ces ateliers permettent de concevoir des organisations résilientes, au service du vivant, ancrées dans le réel — celui des limites planétaires — tout en ouvrant la voie à une autre façon de travailler ensemble.

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